L'intégration !
22092011
L'intégration !
1.L’intégration !
Le département de la formation de la jeunesse et de la culture souhaite intégrer les enfants en situation de handicap dans les classes public afin de participer à leur intégration scolaire et sociale.
Aujourd’hui les classes scolaires sont déjà bien remplies. Entre 18 et 22 élèves dans certains cantons pour 1 enseignant !
N’en demandons pas trop aux enseignants de non seulement ménager leurs élèves ainsi que les handicapés ?
Les enfants souffrent de troubles du comportement et/ou de développement doivent absolument bénéficier d’un suivit régulier et surtout adapté à leur rythme.
De plus mettre en évidence leurs difficultés ne fait qu’aggraver leur état psychologique et pédagogique.
2. Si au moins les moyens étaient donnés !
Que signifie être intégré de nos jours? Rentrer dans le moule et suivre ?
A l’heure actuel une aide à l’enseignante non formé est éventuellement proposée aux enseignants quelques périodes par semaine et une aide pédagogique certifié par la SESAF ( service de l’enseignement spécialisé et de l’appui à la formation), sous condition que les parents soit éventuellement informés de pouvoir bénéficier de cette aide et que l’inspecteur de la SESAF soit d’accord de débloquer les fonds nécessaires à la prise en charge de l’enfant.
Le manque financier au sujet des aides et de la prise en charge scolaire ce fait sentir à tout niveaux!
Non seulement par le retard que prennent les élèves mais aussi par les enseignants qui se sentent démunis par le manque de savoir faire. Les formations données aux aides pédagogiques et aux éducateurs spécialisés ne suffisant pas toujours à aider les enfants en situation de handicap.
Il est évident qu’il manque de structures spécialisées en Suisse pour accueillir ces enfants différents ainsi que des personnes formées adéquatement dans l’intérêt de leurs handicaps.
Une fonction éducatives développée au Etat Unis qui a fait preuve de rigueur en France, la méthode ABA (Applied Behavior Analysis ou Analyse Appliquée du Comportement).
Une méthode structurée, adaptée à chacun, comprenant un objectif, une application et une récompense afin que l’enfant se sente valorisé dans ces progrès et qu’il puisse acquérir les fonctions qu’il n’aurait pas développé.
Une méthode, chez nous, malheureusement méconnue, pas développée, et non appliquée.
3. Plusieurs questions qui se posent ?
Faire des économies sur le dos des enfants en situation de handicap et le manque de connaissance des parents ?
Pourquoi ne pas utiliser d’autres méthodes éducatives ?
Pourquoi ne pas évoluer ?
4. Les conclusions
1) Souvent les diagnostique de ces enfants arrivent tardivement ce qui provoque un déclenchement de complications pour les prises en charges scolaires.
2) Les moyens financiers ne sont pas suffisants.
3) Les formateurs sont dans l’inconnu.
4) Les enfants ne se sentent pas forcement intégré pour autant.
5) Les conflits de confiance entre les parents, l’état et les établissements scolaires grandissent.
A votre avis ? Intégration ou école spécialisée ?
Le département de la formation de la jeunesse et de la culture souhaite intégrer les enfants en situation de handicap dans les classes public afin de participer à leur intégration scolaire et sociale.
Aujourd’hui les classes scolaires sont déjà bien remplies. Entre 18 et 22 élèves dans certains cantons pour 1 enseignant !
N’en demandons pas trop aux enseignants de non seulement ménager leurs élèves ainsi que les handicapés ?
Les enfants souffrent de troubles du comportement et/ou de développement doivent absolument bénéficier d’un suivit régulier et surtout adapté à leur rythme.
De plus mettre en évidence leurs difficultés ne fait qu’aggraver leur état psychologique et pédagogique.
2. Si au moins les moyens étaient donnés !
Que signifie être intégré de nos jours? Rentrer dans le moule et suivre ?
A l’heure actuel une aide à l’enseignante non formé est éventuellement proposée aux enseignants quelques périodes par semaine et une aide pédagogique certifié par la SESAF ( service de l’enseignement spécialisé et de l’appui à la formation), sous condition que les parents soit éventuellement informés de pouvoir bénéficier de cette aide et que l’inspecteur de la SESAF soit d’accord de débloquer les fonds nécessaires à la prise en charge de l’enfant.
Le manque financier au sujet des aides et de la prise en charge scolaire ce fait sentir à tout niveaux!
Non seulement par le retard que prennent les élèves mais aussi par les enseignants qui se sentent démunis par le manque de savoir faire. Les formations données aux aides pédagogiques et aux éducateurs spécialisés ne suffisant pas toujours à aider les enfants en situation de handicap.
Il est évident qu’il manque de structures spécialisées en Suisse pour accueillir ces enfants différents ainsi que des personnes formées adéquatement dans l’intérêt de leurs handicaps.
Une fonction éducatives développée au Etat Unis qui a fait preuve de rigueur en France, la méthode ABA (Applied Behavior Analysis ou Analyse Appliquée du Comportement).
Une méthode structurée, adaptée à chacun, comprenant un objectif, une application et une récompense afin que l’enfant se sente valorisé dans ces progrès et qu’il puisse acquérir les fonctions qu’il n’aurait pas développé.
Une méthode, chez nous, malheureusement méconnue, pas développée, et non appliquée.
3. Plusieurs questions qui se posent ?
Faire des économies sur le dos des enfants en situation de handicap et le manque de connaissance des parents ?
Pourquoi ne pas utiliser d’autres méthodes éducatives ?
Pourquoi ne pas évoluer ?
4. Les conclusions
1) Souvent les diagnostique de ces enfants arrivent tardivement ce qui provoque un déclenchement de complications pour les prises en charges scolaires.
2) Les moyens financiers ne sont pas suffisants.
3) Les formateurs sont dans l’inconnu.
4) Les enfants ne se sentent pas forcement intégré pour autant.
5) Les conflits de confiance entre les parents, l’état et les établissements scolaires grandissent.
A votre avis ? Intégration ou école spécialisée ?
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Date d'inscription : 30/09/2010
Age : 42
Localisation : ECUBLENS -
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L'intégration ! :: Commentaires
Jeu 22 Sep - 3:07 par Gaïe
Bonjour,
Question cruciale effectivement! Sujet très intéressant dont la réponse est difficile à résumer. Alors pour faire vite, je suis personnellement pour l'école spécialisée à condition qu'elle ait les moyens adéquats pour être vraiment spécialisée, notamment les formations et les supervisions nécessaires à la mise en place de méthodes comme ABA ou autres... et que ce ne soit pas que de la garderie (pas de polémique!: j'ai dit que je résumais.).
Bon, moi je me permets de répondre alors que je ne me suis même pas présentée, malgré une gentille invitation à le faire!!! Désolée, mais pour résumer encore, je suis en ce moment plus dans une période off (rien à voir bien sûr avec le fait que mon loulou de 4 ans 1/2, épileptique précoce sévère pharmaco résistant soit en pleine "décompensation" depuis plus d'une semaine) avec une vrai ras le bol, une vraie fatigue, une vraie révolte. Donc en ce moment, pause forcée dans la méthode ABA à la maison car loulou n'est que l'ombre de lui même, et mode automatique en place ( je fais l'autiste moi aussi desfois)... et voilà qu'on vient me "titiller" avec des sujets pareils qui font écho chez la maman en pleine recherche d'une orientation pour son fils, mais aussi chez la psychomotricienne qui travaillait à la fois en milieu spécialisé et en milieu ordinaire dans le domaine du handicap avant que celui ci ne vienne s'installer dans sa propre maison (sans y être invité bien sûr!!!)... oh la belle phrase à rallonge!! c'est pour forcer l'attention, on est forcément obligé de relire!
Je vais arrêter là car en me relisant, je me dis que je suis folle et incompréhensible. Je reviendrai donner mon avis quand les nuits seront meilleures et que loulou aura remonter la pente... parce que dans ces moments là, je suis intarissable sur ce genre de questions, soûlante même!!!
A bientôt donc et merci!
Question cruciale effectivement! Sujet très intéressant dont la réponse est difficile à résumer. Alors pour faire vite, je suis personnellement pour l'école spécialisée à condition qu'elle ait les moyens adéquats pour être vraiment spécialisée, notamment les formations et les supervisions nécessaires à la mise en place de méthodes comme ABA ou autres... et que ce ne soit pas que de la garderie (pas de polémique!: j'ai dit que je résumais.).
Bon, moi je me permets de répondre alors que je ne me suis même pas présentée, malgré une gentille invitation à le faire!!! Désolée, mais pour résumer encore, je suis en ce moment plus dans une période off (rien à voir bien sûr avec le fait que mon loulou de 4 ans 1/2, épileptique précoce sévère pharmaco résistant soit en pleine "décompensation" depuis plus d'une semaine) avec une vrai ras le bol, une vraie fatigue, une vraie révolte. Donc en ce moment, pause forcée dans la méthode ABA à la maison car loulou n'est que l'ombre de lui même, et mode automatique en place ( je fais l'autiste moi aussi desfois)... et voilà qu'on vient me "titiller" avec des sujets pareils qui font écho chez la maman en pleine recherche d'une orientation pour son fils, mais aussi chez la psychomotricienne qui travaillait à la fois en milieu spécialisé et en milieu ordinaire dans le domaine du handicap avant que celui ci ne vienne s'installer dans sa propre maison (sans y être invité bien sûr!!!)... oh la belle phrase à rallonge!! c'est pour forcer l'attention, on est forcément obligé de relire!
Je vais arrêter là car en me relisant, je me dis que je suis folle et incompréhensible. Je reviendrai donner mon avis quand les nuits seront meilleures et que loulou aura remonter la pente... parce que dans ces moments là, je suis intarissable sur ce genre de questions, soûlante même!!!
A bientôt donc et merci!
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